Dégaine (d-blogons)

Par souci de confort, nous vous proposons de découvrir les propos ci-après, en cliquant sur le cadre.
En dehors de nouvelles chroniques ici ou là, d'anciennes peuvent être retouchées.


Je n'ai besoin d'écrire ton nom, liberté.




Lu de Pascal Bruckner à propos de l'amour : "Il reste impur, fait d'or et de boue, un enchantement ambigu. Gommez l'ambiguité, vous tuez l'enchantement".

Le tout dirais-je, est de savoir quoi faire de cette ambiguité.




"Et puis merde..!" aurait pu suffir pour souligner cet article.
L'adjectif libre aurait pu suffir lui à m'attirer mais pas trop près. Le ruban rouge entourant le livre est en effet sous certaines lumières, éclatant.
Ici, indépendamment de l'écriture puisqu'elle est prétexte, ce sont d'autres notions qui me retiennent. Surtout dans un tel capharnaüm.
A ce titre, au delà d'apparences, sous certains aspects, on peut rapprocher cet article de ceux du dessous.




Par les temps qui galopent vers toujours plus de viduité notamment, je ne dirais pas que la discrétion a mauvaise presse, je dirais qu'elle est assimilée à une tare. Que c'est elle la grossièreté maintenant, l'anomalie.
Pour lui rendre hommage alors en même temps qu'à un jeune garçon plein de talents -je voulais être gardien de but- je laisse découvrir l'article ci-dessous.

Puis pour aggraver mon cas -"ah, tu lis l'Equipe ?"- en complément puisque j'ai colorié l'image, je laisse un deuxième portrait comme il en existe de fort intéressants dans ce quotidien pour benêts.